Éric Agrikoliansky (Université Paris IX-CREDEP, CURAPP). De l’anticolonialisme à l’antimondialisation : généalogie(s) d’un nouveau cadre d’action collective.

Marcos Ancelovici (Massachusetts Institute of Technology). From class struggle to antiglobalization : labor politics and ideological change in France.

Jean-Gabriel Contamin (Université d’Artois). Les mobilisations anti-mondialisation avant les mobilisations anti-mondialisation. Réflexions autour de l’alignement des cadres d’interprétation : l’exemple de décembre 1995.

Jean-Philippe Martin. Les mobilisations antimondialisation, rôle et place de la Confédération paysanne.

Daniel Mouchard (Université de Poitiers). Les mobilisations contre l’AMI, un moment fondateur ?

Isabelle Bédoyan, Peter Van Aelst, Stefaan Walgrave (University of Antwerp). Limitations and possibilities of transnational mobilization. The case of EU summit protesters in Brussels, 2001.

Donatella Della Porta (European University Institute). Politics, antipolitics and other politics : participatory democracy and the activists of the movement for a " globalization from below ".

Dave Sinardet, Peter Bursens (University of Antwerp). Globalising Protest. The Horizontal and Vertical Coherence of the Laeken Protesters’ demands (table paper) .

Marko Bandler (Université de Genève), Florence Passy (Université de Lausanne), Isabelle Sommier (CRPS-Paris I). Le contre sommet G8 d’Évian. Éléments pour une sociographie des militants altermondialistes.

Tuomas Ylä-Anttila (Université d’Helsinki) : The Publics of the World social forum. On the role of social movements and NGOs in global public debates.

Élise Cruzel (Université Toulouse I-LASSP). Trajectoires militantes à ATTAC. Étude comparée des groupes locaux de Gironde et de Haute-Garonne.

Christophe Dinouard (CURAPP-Université de Picardie). Renouvellement militant pour une politique agricole responsable. Entre fragilité de l’engagement et continuité corporatiste.

Ariane Jossin (Université Rennes 1-CRAPE, Freie Universität de Berlin). Se former à l’altermondialisation. Réseaux internationaux et parcours de jeunes.

Thomas Marty (GAP-Université Paris X). Le militantisme intellectuel d’ATTAC Toulouse. Disposition enseignante et autodidaxie légitime chez les militants d’ATTAC.

Geoffrey Pleyers (CADIS-EHESS et Aspirant du FNRS-ULg). Le modèle liégeois.

Guillaume Veillet (CIDSP-Institut d’Études politiques de Grenoble). Libération animale et anti-globalisation. Trajectoires militantes. Grande-Bretagne/France (table paper).

Sophie Béroud (IEP Paris), Georges Ubiali (IHC-Université de Bourgogne). Les syndicats de l'ancien écosystème communiste (CGIL, CGT, Commissions ouvrières) face à l'altermondialisme : un ressourcement possible ?

Magali Boumaza (GSPE-IEP de Strasbourg). Usages et réappropriation militante des discours antimondialisation par les représentants de l’extrême-droite française.

Max Brichet (IEP de Paris). ATTAC et les syndicats français : SUD, CGT, CFDT (table paper).

Yvan Bruneau (Université Paris XIII). La Confédération paysanne et le mouvement antimondialisation. Analyse interne d’une association para-doxale et problématique.

Stéphanie Dechezelles (CERVL-Bordeaux IV). Mobilisations antimondialisations en Italie : cherche droite désespérément.

Jean-Michel Denis (GIP-MIS/Université de Marne la Vallée). Le G10 et ATTAC.

Laurent Olivier (GREP-Université Nancy II). Le Parti socialiste et l’altermondialisme. Enjeux d'une réappropriation partisane ambigüe (table paper).

Jean-François Purseigle (INP Toulouse, INA Paris). Les jeunes agriculteurs et la mondialisation. Enjeux et paradoxes d’un positionnement catégoriel.

Eric Cheynis (IRESCO-CSU "Cultures et sociétés urbaines", Université Paris I). Usages et enjeux nationaux de l’antimondialisation : comment le mouvement prend pied au Maroc.

Mario Diani (University of Trento). Global activist in local networks : evidence from Glasgow and Bristol.

Frédéric Gimello-Mesplomb (CRAPE-Université Rennes 1). Les mouvements antimondialisation dans le processus de légitimation de l’exception culturelle française (table paper).

Graeme Hayes (Nottingham Trent University). Mobilising against multiplexes : where local politics meets "l’exception culturelle".

Xabier Itçaina (CERVL-IEP Bordeaux). L’intégration de la dimension (alter)mondialiste dans un référentiel militant : l’exemple d’un syndicat paysan basque.

Julie Massal (IEP d’Aix-en-Provence, Centre de science politique comparative), Les indiens d’Equateur contre la mondialisation ? (table paper).

Aysen Uysal (CRPS-Université Paris I). " Rebelles du monde entier unissez-vous ! ". L’exemple du groupe Antikapitalist de Turquie.

Emmanuelle Vignaux (Stanford University). Les groupes confessionnels et le mouvement antimondialisation en Norvège.

Thierry Brugvin ( EHESS-Paris/CRESP). Societé civile, mouvements sociaux et régulation internationale du travail (table paper).

Samy Cohen (CERI, Paris). ONG, Mouvements antimondialisation et " société civile internationale ".

Eddy Fougier (IFRI, Paris). L’influence du mouvement altermondialiste : acteurs nationaux, acteurs internationaux.

Nadège Fréour ( CERIEP-Centre de politologie de Lyon). Le positionnement et le rôle de Greenpeace dans le mouvement antimondialisation.

Eric Poinsot (GSPE-IEP de Strasbourg, Maison française d’Oxford). La montée en puissance d’une lecture économique des droits de l’homme. Le cas d’Amnesty international après le Conseil international de Dakar d’août 2001.

Sylvie Ollitrault (CRAPS-Lille 2). Peoples and plants. La biodiversité au service des populations du Sud.

Olivier Blondeau (IEP Paris-CNET). Vers une maîtrise des supports et des formats de prises de parole publique dans l’espace militant.

Dominique Cardon, Fabien Granjon (CNET). Les " médias-activistes " et le mouvement alter-mondialisation.

Sophie Dubuisson-Quellier (CSO Paris), Claire Lamine (EHESS Marseille). L’action sur les marchés comme répertoire de l'action politique. Conditions et limites de l'engagement des consommateurs.

Gaël Franquemagne (CERVL-Bordeaux IV). Effets et contre-effets d’un mouvement protestataire : la constitution d’une cause discursive (la " mal-bouffe ") et d’un site exemplaire de protestation : le Larzac (table paper).

Pascal Quidu (EHESS-SHADYC). Les deux âges de la critique de la Bourse. Rupture et continuité de la dénonciation de la finance de marché.

Maxime Szczepanski (CURAPP-Université de Picardie). Journalistes et lecteurs dans l’antimondialisation. Le cas du Monde Diplomatique.

Raphaël Wintrebert (EHESS). Travail d’expertise, critique et demandes sociale. La commission Europe d’Attac-France.

Caroline Datchary (France Télécom R&D, GSPM-EHESS), Julie Pagis (ENS Ulm, CSE-EHESS). Regards croisés sur deux réseaux altermondialistes de jeunes.

Francis Dupuis-Déri (Massasuchetts institute of Technology). Groupes d'affinité et psychologie des foules rationnelles. L’anarchisme comme cadre organisateur.

Jean Faniel (Université libre de Bruxelles). Le Collectif belge des Marches européennes contre le chômage, la précarité et les exclusions : entre mobilisation et expertise (table paper).

Sonja Kellenberger (Université Paris X). Art et contestation : de la mobilisation d’artistes-activistes contre la mondialisation néo-libérale.

Christophe Traïni (IEP d’Aix-en-Provence). Les centres sociaux occupés et les forces de l’ordre. Un répertoire d’action italien dans la polyphonie altermondialiste.

Nathalie Tenenbaum (CSE-EHESS). Désobéissance non-violente et nouvelles formes de militantisme dans le mouvement altermondialisation.

Lesley J.Wood (Columbia University). Breaking the Bank and Taking to the Streets : How protesters target neoliberalism.

Massimiliano Andretta (University of Florence). Framing transnational activism : the birth of the European social forum.

Brigitte Beauzamy (CADIS-GTMS). La mise en conflit des événements de Gênes.

Michele Beyeler, Eveline Hübscher (University of Zürich). Public opinion and protest against economic globalization.

Manuel Jiménez (University of Madrid). The construction of the public identity of the antiglobalization movement in Spain.

Olivier Voirol (Université de Lausanne). L’apparition d’une cause politique et l’émergence du problème de la " mondialisation ". Le cas de l’Action mondiale des peuples.